mercredi 26 septembre 2007

Les croyances et la santé

Bonjour, je reviens (Jean-Michel) d'un week-end formation, à Lausanne, sur la prise en charge psychologique des personnes atteintes de cancer et de leur entourage. Nous avons travaillé sur les croyances(convictions) qui sont au centre de la problématique des maladies lourdes telles que le cancer.
Nous avonstravailé sur un texte, dont l'origine est inconnue, et qui parlent de concepts que vous retrouvez dans notre programme, au fil des semaines qui passent : le travail sur les croyances, les émotions et l'intelligence du coeur.
Je vous le livre ici. C'est long alors lisez le en plusieurs fois si besoin.

Le bonheur

Que souhaitons-nous le plus ? N'est-ce pas de connaître ce bonheur inconditionnel qui est là, en chacun de nous ?

Or, bien souvent, nous vivons dans la peur de manquer : maquer de temps, d'argent, d'affection, d'amour, etc. et nous pouvons dresser une longue liste de tout ce qui est un empêchement à vivre dans la joie et la paix intérieure : les autres, les événements extérieurs… En fait, les vrais responsables ne seraient-ils pas les images et les idées que nous entretenons au fond de nous ? Les idées que nous nous faisons sur la situation, ou sur nous-mêmes ?... Par exemple, que nous évoque une séance chez le dentiste ? Est-ce l'occasion pour nous reposer dans un fauteuil confortable, ou est-ce, a priori, un moment désagréable et douloureux ?

Quelle idée nous faisons-nous de notre capacité à nous transformer et à changer notre vie ?

Une simple pensée devient une croyance quand on enfonce longuement le clou de la pensée. Il faut examiner nos croyances. Nous sont-elles bénéfiques ? Entretiennent-elles, en nous, un sentiment de confiance, une capacité à communiquer et nous conduisent-elles vers un état de sérénité, ou au contraire, ne développent-elles pas les peurs, les besoins, les dépendances ?

Un exemple : si je crois que pour être heureux, il me faut un certain confort matériel, tant que je n'aurai pas ce confort, je ne puis être bien. Si je crois que je ne serai heureux que lorsque je vivrai un grand amour, je ne vais pas goûter toutes les possibilités de moments heureux du quotidien.

Choisir de transformer ses croyances, développer un nouveau mode de pensée, exige une décision. Car le bonheur, c'est le fruit d'un apprentissage et il nous faut décider, c'est-à-dire nous engager sur ce chemin de la transformation.

Voyons ces idées qui nous conditionnent et nous prédisposent à la souffrance, Par exemple : il est normal de souffrir quand nous sommes contrariés, trahis ou abandonnés, quand nous sommes atteints d'une maladie ou d'un handicap.

Il nous faut alors être plus habile que nos pensées, que notre mental. Car c'est le mental qui nous fait croire que dans telle ou telle situation, nous devons absolument souffrir. Par exemple : mon mari se trouve licencié économique pour la deuxième fois en trois ans. Comment pouvez-vous me dire que je peux apprendre à apprécier la vie, apprendre à développer ma capacité à être heureuse ?

Oui, cela est possible si nous nous entraînons à dissocier la situation et l'émotion, cause de la souffrance. Qu'est-ce qui souffre en moi ? Quelle est l'émotion qui m'habite et quelles sont les pensées qui l'alimentent ? Notre vie nous présente, sans cesse, des occasions de regarder comment nous fonctionnons. Et le quotidien est notre laboratoire où nous transformons notre inclination à souffrir en capacité à être heureux et unifié, c'est-à-dire sans conflits, sans peurs, et libre de toutes dépendances.

Apprendre à acquérir l'habitude du bonheur, n'est-ce pas égoïste ? Comment puis-je être heureux alors que tant d'autres souffrent, que la planète connaît la guerre, la famine, la violence, l'injustice ?

Avons-nous droit au bonheur ? Quelle est notre croyance à ce sujet ? Il est intéressant de se poser la question. Si nous pensons ne pas avoir droit au bonheur, comment s'étonner de si peu l'atteindre. Et nous pouvons examiner en quoi le fait de se sentir bien dans sa tête et dans sa vie va être bénéfique aux autres. En améliorant notre capacité à gérer les émotions et le mental, nous ne sommes plus dans l'action-réaction mais nous développons la conscience de soi. L'animal est dans la conscience simple et il réagit de façon instinctive aux différents stimuli. L'homme a atteint la conscience de soi et va vers la conscience cosmique. Mais combien, actuellement, utilisent cette conscience de soi à chaque moment de leur vie ?

Reprenons cette hypothèse que nous nous rendons malheureux par les idées que nous nous faisons, ces idées qui alimentent en nous les émotions. Alors ces idées, pouvons-nous les contrôler et les gérer ? Naturellement, qui d'autre que nous pourrait le faire ? Il est de notre responsabilité d'émettre telle ou telle pensée, comme il est de notre responsabilité de poser tel ou tel acte. Donc, nous sommes responsables de nos pensées et nous avons le pouvoir et la liberté de les choisir et de ne garder dans notre mental que les pensées que nous jugeons saines et constructives. Et qui décide, quelle est cette instance supérieure si ce n'est ce je, cette conscience qui, trop souvent, sommeille en nous ?

Alors, tout et simple, il nous faut être éveillé, conscient, à chaque instant de notre vie… Etre dans l'ici et le maintenant, dans la conscience de notre corps, de notre souffle, de nos pensées, de nos émotions, de nos paroles, de nos actions, Cela s'apprend grâce à la vigilance à être dans la présence à soi à chaque instant, Et c'est alors que nous pouvons découvrir que le moment présent est source de joie.

Nous avons à retrouver la réceptivité de l'enfant dans ses premiers mois de vie : l'acte conscient n'est pas pensé mais senti, dit le docteur Vittoz. Par la réceptivité, nous donnons aux événements leur juste valeur.

Etre dans le oui à ce qui est, être un avec ce qui est…. N'est-ce pas cela aimer ? Si je suis un avec la pluie…. je ne suis plus malheureux à chaque fois qu'il pleut. Aimer chaque instant de sa journée, cela commence par des choses toutes simples comme aimer la tartine beurrée de son petit déjeuner, l'eau de la douche, la personne qui et en face de soi dans le bus…. C'est aussi vivre ses émotions au lieu de les subir : sentir sa colère, sa joie, sa tristesse…., Ces émotions et principalement celles qui sont négatives, s'effaceront si le mental ne les nourrit plus. Cela libèrera en nous l'énergie permettant d'améliorer et de transformer notre vie.

Donc les solutions de notre mieux-être sont en nous. Et nous n'avons plus à perdre notre temps et notre énergie à vouloir être comme notre voisin ou à attendre de l'extérieur notre bonheur. L'énergie que nous retrouverons grâce à cette conscience de soi, va nous permettre d'éliminer nos empêchements à être heureux : nos attachements au passé ou nos inquiétudes pour le futur. Libres de nos regrets ou de nos rancunes, nous faisons de la place en nous pour accueillir le présent et pour l'aimer. Notre regard sur nous-mêmes se fait alors positif. Nous pouvons nous aimer tels que nous sommes et nous sentir reliés à notre Etre Intérieur. En nous, s'éveillent l'enthousiasme, la joie intérieure, la confiance pour accomplir notre destinée.

Ainsi unifiés, nous trouvons le bonheur dans l'action accomplie et non plus dans les fruits de l'action. Cette capacité à nous aimer, à aimer notre vie nous ouvre à l'amour des autres, au service désintéressé. Car quand je m'aime, je n'exige plus d'être aimé par les autres. Voilà en quoi apprendre à être heureux à chaque instant de sa vie n'est pas une démarche égoïste !

Quand je suis dans l'émotion, je ne suis pas dans l'intelligence du coeur mais dans l'illusion du mental. Et quand je deviens capable de m'aimer, de faire de ma vie une succession de moments efficaces et heureux, je développe toutes les qualités nécessaires à l'état d'harmonie avec moi, les autres et les événements.

N'est-ce pas cela connaître l'état d'amour ? Quand nous sommes unifiés, s'aimer et aimer les autres, c'est la même chose puisque nous nous reconnaissons en tous les autres. Et créer du bonheur autour de soi, c'est aussi se donner du bonheur. Le bonheur réside dans l'amour.

Cela est quand notre cœur s'est purifié, quand il est dans le oui à ce qui est. Là est la véritable
asc Que souhaitons-nous le plus ? n'est-ce pas de connaître ce bonheur inconditionnel qui est là, en chacun de nous ?

Or, bien souvent, nous vivons dans la peur de manquer : maquer de temps, d'argent, d'affection, d'amour, etc. et nous pouvons dresser une longue liste de tout ce qui est un empêchement à vivre dans la joie et la paix intérieure : les autres, les événements extérieurs… En fait, les vrais responsables ne seraient-ils pas les images et les idées que nous entretenons au fond de nous ? Les idées que nous nous faisons sur la situation, ou sur nous-mêmes ?... Par exemple, que nous évoque une séance chez le dentiste ? Est-ce l'occasion pour nous reposer dans un fauteuil confortable, ou est-ce, a priori, un moment désagréable et douloureux ?

Quelle idée nous faisons-nous de notre capacité à nous transformer et à changer notre vie ?

Une simple pensée devient une croyance quand on enfonce longuement le clou de la pensée. Il faut examiner nos croyances. Nous sont-elles bénéfiques ? Entretiennent-elles, en nous, un sentiment de confiance, une capacité à communiquer et nous conduisent-elles vers un état de sérénité, ou au contraire, ne développent-elles pas les peurs, les besoins, les dépendances ?

Un exemple : si je crois que pour être heureux, il me faut un certain confort matériel, tant que je n'aurai pas ce confort, je ne puis être bien. Si je crois que je ne serai heureux que lorsque je vivrai un grand amour, je ne vais pas goûter toutes les possibilités de moments heureux du quotidien.

Choisir de transformer ses croyances, développer un nouveau mode de pensée, exige une décision. Car le bonheur, c'est le fruit d'un apprentissage et il nous faut décider, c'est-à-dire nous engager sur ce chemin de la transformation.

Voyons ces idées qui nous conditionnent et nous prédisposent à la souffrance, Par exemple : il est normal de souffrir quand nous sommes contrariés, trahis ou abandonnés.. quand nous sommes atteints d'une maladie ou d'un handicap.

Il nous faut alors être plus habile que nos pensées, que notre mental. Car c'est le mental qui nous fait croire que dans telle ou telle situation, nous devons absolument souffrir. Par exemple : mon mari se trouve licencié économique pour la deuxième fois en trois ans. Comment pouvez-vous me dire que je peux apprendre à apprécier la vie, apprendre à développer ma capacité à être heureuse ?

Oui, cela est possible si nous nous entraînons à dissocier la situation et l'émotion, cause de la souffrance. Qu'est-ce qui souffre en moi ? Quelle est l'émotion qui m'habite et quelles sont les pensées qui l'alimentent ? Notre vie nous présente, sans cesse, des occasions de regarder comment nous fonctionnons. Et le quotidien est notre laboratoire où nous transformons notre inclination à souffrir en capacité à être heureux et unifié, c'est-à-dire sans conflits, sans peurs, et libre de toutes dépendances.

Apprendre à acquérir l'habitude du bonheur, n'est-ce pas égoïste ? Comment puis-je être heureux alors que tant d'autres souffrent, que la planète connaît la guerre, la famine, la violence, l'injustice ?

Avons-nous droit au bonheur ? Quelle est notre croyance à ce sujet ? Il est intéressant de se poser la question. Si nous pensons ne pas avoir droit au bonheur, comment s'étonner de si peu l'atteindre. Et nous pouvons examiner en quoi le fait de se sentir bien dans sa tête et dans sa vie va être bénéfique aux autres. En améliorant notre capacité à gérer les émotions et le mental, nous ne sommes plu dans l'action-réaction mais nous développons la conscience de soi. L'animal est dans la conscience simple et il réagit de façon instinctive aux différents stimuli. L'homme a atteint la conscience de soi et va vers la conscience cosmique. Mais combien, actuellement, utilisent cette conscience de soi à chaque moment de leur vie ?

Reprenons cette hypothèse que nous nous rendons malheureux par les idées que nous nous faisons, ces idées qui alimentent en nous les émotions. Alors ces idées, pouvons-nous les contrôler et les gérer ? Naturellement, qui d'autre que nous pourrait le faire ? Il est de notre responsabilité d'émettre telle ou telle pensée, comme il est de notre responsabilité de poser tel ou tel acte. Donc, nous sommes responsables de nos pensées et nous avons le pouvoir et la liberté de les choisir et de ne garder dans notre mental que les pensées que nous jugeons saines et constructives. Et qui décide, quelle est cette instance supérieure si ce n'est ce je, cette conscience qui, trop souvent, sommeille en nous ?

Alors, tout et simple, il nous faut être éveillé, conscient, à chaque instant de notre vie… Etre dans l'ici et le maintenant, dans la conscience de notre corps, de notre souffle, de nos pensées, de nos émotions, de nos paroles, de nos actions, Cela s'apprend grâce à la vigilance à être dans la présence à soi à chaque instant, Et c'est alors que nous pouvons découvrir que le moment présent est source de joie.

Nous avons à retrouver la réceptivité de l'enfant dans ses premiers mois de vie : l'acte conscient n'est pas pensé mais senti, dit le docteur Vittoz. Par la réceptivité, nous donnons aux événements leur juste valeur.

Etre dans le oui à ce qui est, être un avec ce qui est…. N'est-ce pas cela aimer ? Si je suis un avec la pluie…. je ne suis plus malheureux à chaque fois qu'il pleut. Aimer chaque instant de sa journée, cela commence par des choses toutes simples comme aimer la tartine beurrée de son petit déjeuner, l'eau de la douche, la personne qui et en face de soi dans le bus…. C'est aussi vivre ses émotions au lieu de les subir : sentir sa colère, sa joie, sa tristesse…., ces émotions et principalement celles qui sont négatives, s'effaceront si le mental ne les nourrit plus. Cela libèrera en nous l'énergie permettant d'améliorer et de transformer notre vie.

Donc les solutions de notre mieux-être sont en nous. Et nous n'avons plus à perdre notre temps et notre énergie à vouloir être comme notre voisin ou à attendre de l'extérieur notre bonheur. L'énergie que nous retrouverons grâce à cette conscience de soi, va nous permettre d'éliminer nos empêchements à être heureux : nos attachements au passé ou nos inquiétudes pour le futur. Libres de nos regrets ou de nos rancunes, nous faisons de la place en nous pour accueillir le présent et pour l'aimer. Notre regard sur nous-mêmes se fait alors positif. Nous pouvons nous aimer tels que nous sommes et nous sentir reliés à notre Etre Intérieur. En nous, s'éveillent l'enthousiasme, la joie intérieure, la confiance pour accomplir notre destinée.

Ainsi unifiés, nous trouvons le bonheur dans l'action accomplie et non plus dans les fruits de l'action. Cette capacité à nous aimer, à aimer notre vie nous ouvre à l'amour des autres, au service désintéressé. Car quand je m'aime, je n'exige plus d'être aimé par les autres. Voilà en quoi apprendre à être heureux à chaque instant de sa vie n'est pas une démarche égoïste !

Quand je suis dans l'émotion, je ne suis pas dans l'intelligence du coeur mais dans l'illusion du mental. Et quand je deviens capable de m'aimer, de faire de ma vie une succession de moments efficaces et heureux, je développe toutes les qualités nécessaires à l'état d'harmonie avec moi, les autres et les événements.

N'est-ce pas cela connaître l'état d'amour ? Quand nous sommes unifiés, s'aimer et aimer les autres, c'est la même chose puisque nous nous reconnaissons en tous les autres. Et créer du bonheur autour de soi, c'est aussi se donner du bonheur. Le bonheur réside dans l'amour.

Cela est quand notre cœur s'est purifié, quand il est dans le oui à ce qui est. Là est la véritable
ascèse… Purifier le cœur de ses peurs, de ses désirs, de ses dépendances afin d'être libre de tout attachement et d'accéder à l'état supérieur de conscience, la Conscience cosmique et à l'Amour universel.

mardi 18 septembre 2007

Mon combat contre les kilos


Si je me suis spécialisée, il y a déjà bien longtemps, dans les problèmes de surcharge pondérale c’est qu’un jour j’ai été confronté au problème.
A l’âge de 17 ans environ, suite à des problèmes de dos (lombalgies) j’ai été contrainte par le médecin d’arrêter toute activité sportive. Moi qui faisait quinze heures de sport par semaine. J’avais gardé mon appétit de sportive et en moins de 6 mois j’avais pris 6 ou 7 kilos. Plutôt que de prendre le problème à bras le corps, je me suis culpabilisée, dénigrée et pour me réconforter j’ai non seulement mangé en plus grande quantité mais je suis également tombée dans le piège du grignotage – consolation. Et là le cycle infernal a commencé jusqu’à totaliser un surpoids de 20 kilos.
J’ai alterné des phases de régimes miracles avec des phases quasi boulimiques. Ces régimes miracles et autres poudres de perlimpinpin ne m’ont jamais rien fait perdre à part de l’argent et de l’estime de moi.
A l’époque je ne connaissais pas l’impact des convictions malsaines et des pensées négatives. Si seulement ! Je n’aurais pas passé une dizaine d’années à me battre contre des kilos qui n’étaient ni plus ni moins que l’expression d’un mal être.

Plusieurs circonstances dans ma vie comme l’arrivée des mes enfants, mon diplôme d’infirmière, m’ont permis de reprendre confiance en moi et de chasser inconsciemment ces pensées négatives. Quand je me suis reconvertie dans la thérapie et le coaching j’ai achevé de faire disparaître les résidus de pensées négatives mais là, en toute conscience.

A l’heure d’aujourd’hui je mène une vie saine, je n’ai plus mal au dos alors que je pratique le ski, la natation, la randonnée et même du jogging et surtout des étirements qui ont été salvateurs pour mes lombaires. J’ai banni à tout jamais quelques aliments qui ne servent à rien au niveau nutritionnel, à savoir, les chips, l’alcool (à part le vin que j’apprécie à l’apéritif et aux cours des repas en quantité raisonnable bien entendu), les fritures et les pâtisseries indigestes.

Régulièrement, lors de mes consultations en cabinet je rencontre des personnes qui se sabotent toutes seules « à l’insu de leur plein gré » ! Quand elles prennent conscience des raisons qui les ont poussé à agir de telle ou telle manière elles peuvent enfin adapter un nouveau comportement. C’est également à ce niveau que nous, coachs, nous intervenons. Comme disait Jacques Salomé « j’ai pris conscience que la roue de mon vélo était dégonflée mais cela n’a pas suffit à la regonfler ». En effet, il est nécessaire de passer à l’action et d’entreprendre de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour s’occuper de soi de façon positive et bénéfique.

Cessons de nous malmener et de ressasser ces fameuses pensées négatives. Cessons de raisonner « Problèmes » et pensons « Solutions ».
J’utilise souvent ce petit exercices avec mes clients : Sur une feuille ou dans votre blog dressez la liste des problèmes que vous rencontrez de façon récurrente et à la suite imaginez les solutions envisageables (même si elles ne vous paraissent pas réalisables pour l’instant). Vous occuperez ainsi votre cerveau avec des solutions et non avec des problèmes. Ce travail est très proche de celui des croyances limitantes que vous allez aborder au cours du programme mais il peut vous préparer efficacement à donner le meilleur de vous-même. Alors pourquoi ne pas essayer ?


mardi 11 septembre 2007

Une journée bien remplie


Je pense que beaucoup d'entre vous se reconnaitront dans cette journée!

Réveil: 4h30! Je sais c'est tôt mais le problème c'est les journées qui s'évertuent à n'avoir que 24H!!! Aprés un grand bol de ricorée dont je suis fan direction l'ordinateur pour répondre aux questions.

6h00: Séance de gym (enregistrée) à la télé.

7h00 petit-déjeuner en famille. Au menu 1 tranche de pain complet grillé et un bol de fromage blanc à 0%, un ou deux fruits coupés en morceaux, quelques noix et du miel. Et bien sûr une ricorée.

Dès 9h00 consultations téléphoniques avec le Sénégal et l'angleterre. Vive Skype c'est trés pratique et c'est gratuit.

11h00 Réponses aux questions + création et amélioration du site. J'en profite au passage pour vous dire que toutes les suggestions sont les bienvenues.

12h30 Repas crudités + Viande froide + fruit dans une cafétéria. Les cafétérias ont l'avantage d'offrir un vaste choix d'aliments compatibles avec un objectif minceur.

14h00 Consultations au cabinet pour une petite après-midi (ce n'est pas toujours le cas)

17h00 Récupérer la petite dernière à l'école - Goûter - devoirs

18h00 Emmener la 2ème à l'athlétisme et de nouveau réponses aux questions

20h00 Repas en famille et pour ce soir j'ai décidé de m'écouter et de me détendre avec un bon livre.

Je répète qu'il faut souvent écouter les messages que nous envoient notre corps. Le mien est en train de me dire de ralentir et je l'écoute. Bien souvent en consultation j'entends des personnes qui voudraient de débarasser d'un problème qui représente ni plus ni moins qu'un symptôme.

Si vous avez 40°C de température, vous aurez beau prendre tout le paracétamol ou l'aspirine que vous voudrez vous ferez baisser votre température mais cela ne fera pas disparaître l'infection que vous avez contractée. Vous agissez sur un symptôme et pas sur la cause. La température est un signal que vous envoir votre organisme pour vous inciter à chercher ce qui ne va pas et surtout à vous soigner.

Pour les problèmes de surcharge pondérale, c'est souvent la même chose (je ne parle pas ici de pathologies médicales sévères). Votre corps envoie un signal pour vous indiquer qu'il y a quelque chose qui ne va pas ou une situation que vous avez du mal à gérer.

Si le stress est à l'origine de votre surpoids il serait judicieux d'agir de manière adaptée sur les causes du stress et non sur les effets. Il ne vous viendrait pas à l'idée d'aller faire le plein de votre véhicule lorsque vous êtes contrarié!


Je vous souhaite à tous et à toutes une excellente soirée et pensez bien à prendre soin de vous!

Florence


samedi 1 septembre 2007

Samedi 1er septembre : visite de Philippe d'Anxa

Samedi 1er septembre, j'ai la visite de Philippe (à droite sur la photo), qui est directeur des opérations de la société Anxa. Anxa est la société qui "agrège" le contenu de ce site et le rend accessible sur internet. C'est lui qui supervise les contenus et bien que nous conversions souvent par email et par Skype, nous nous ne sommes jamais rencontrés. Car Philippe habite Djakarta, la capitale Indonésienne avec ses 18 miilions d'habitants. Et il revient en France rarement, environ une fois tous les deux ans!
Nous en profitons pour faire un point sur le fonctionnement du programme et pour optimiser et améliorer ce qui doit l'être. Puis, nous filmons Florence, qui réalise de nouvelles vidéos pour vous.
Profitez de cette photo pour admirer mes magnifiques bambous. Pour les connaisseurs et connaisseuses, ce sont des Phyllostachis aurea.

Jean-Michel

29 août : Le confit c'est light ?


Bon allez, je vous l'avoue : de temps en temps je me fais de vrais plaisirs gustatifs comme celui du confit de canard de madame Ramon que j'ai rapporté du Lot. Ce confit est entièrement naturel, juste assaisonné avec du sel et du poivre m'explique t-elle. Il cuit une première fois en cocotte durant trois heures, puis il est placé en bocaux et stérilisé durant une heure trente.
Lors de sa prépartion, sortez le de son bocal, dégraissez-le. Si, si... :-) Et posez-le sur un lit d'épinards en branche, frais si possible ou bien en boite. Et faite réchauffer 30 minutes au moins au four sur environ 150°C. Et régalez-vous.... De temps en temps, ça fait du bien. l'essentiel est de ne pas abuser. J'évite donc le foie gras en entrée...
Jean-Michel

Vendredi 30 août : La cueillette des pommes est en cours




La cueillette des pommes de vallée du Rhône est en cours. Cela dépend des variétés : les rouges sont déjà toutes récoltées et les Golden attendent encore de mûrir. Savez vous que la pomme est un véritable médicament ?

Selon Wikipédia, les pommes contiennent divers composés qui les protègent contre les virus, les bactéries et les moisissures. En mangeant des pommes, l'être humain tire profit de ces molécules, comme la quercétine, qui s'avère efficace sur le cerveau des rats.
Une étude
transpose aux êtres humains les résultats obtenus avec les rats de laboratoire : la consommation quotidienne d'une pomme réduirait le risque de maladie d'Alzheimer et celle de Parkinson.
Une autre étude publiée dans la revue "Thorax"
suggère aujourd’hui que les mères qui mangent régulièrement des pommes (4 par semaine) alors qu’elles sont enceintes ont moins de risques que les autres de mettre au monde un enfant asthmatique.
Le dicton
« Une pomme par jour, en forme toujours » semble donc tout à fait pertinent.